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bonne consultation
samedi 10 mai 2008
samedi 8 septembre 2007
exposition collective
à l'Espace culturel François Mitterrand à Périgueux
"Dessine-le"
Exposition de groupe du 15 septembre au 30 novembre 2007, co-réalisée par l'ADDC et Philippe Coubetergues
vernissage le 14 septembre à 18h
Conférence de Philippe Coubetergues, critique d'art, le 19 septembre à 18h
"actualité(s) du dessin contemporain"
à l'Espace culturel François Mitterrand à Périgueux
"Dessine-le"
Exposition de groupe du 15 septembre au 30 novembre 2007, co-réalisée par l'ADDC et Philippe Coubetergues
vernissage le 14 septembre à 18h
Conférence de Philippe Coubetergues, critique d'art, le 19 septembre à 18h
"actualité(s) du dessin contemporain"
mercredi 27 juin 2007
expositions collectives à Fontenay-le-Comte et à Colmar
"Amphibie", 2007, aquarelle préparatoire pour l'installation dans le jardin de l'Hôtel de Ville de Fontenay-le-Comte
"iles désertes" , 2006/2007, simulation sur le bassin du jardin de l'hôtel de Ville
Exposition " A la surface de l'eau", Fontenay-le-Comte (Vendée)
du 10 juillet au 29 septembre 2007
et
Exposition " dix ans" , Espace d'art contemporain André Malraux, Colmar du 13 juillet au 28 octobre 2007
"iles désertes" , 2006/2007, simulation sur le bassin du jardin de l'hôtel de Ville
Exposition " A la surface de l'eau", Fontenay-le-Comte (Vendée)
du 10 juillet au 29 septembre 2007
et
Exposition " dix ans" , Espace d'art contemporain André Malraux, Colmar du 13 juillet au 28 octobre 2007
mercredi 14 mars 2007
mercredi 7 mars 2007
Musée de la chasse et de la nature, 60 rue des Archives, Paris-3è
à l'hôtel Mongelas (entre la salle du chien et la salle des oiseaux)
Cabinet des appeaux : "Souffler n'est pas jouer", 2006/2007
appeaux, bois, métal, verre, mastic à greffer, encre sur papier
détails dans les vitrines
Dans la vitrine, une gourde en peau de bête voisine avec des flûtiaux et de drôles d'alambics.
à l'hôtel Mongelas (entre la salle du chien et la salle des oiseaux)
Cabinet des appeaux : "Souffler n'est pas jouer", 2006/2007
appeaux, bois, métal, verre, mastic à greffer, encre sur papier
détails dans les vitrines
Dans la vitrine, une gourde en peau de bête voisine avec des flûtiaux et de drôles d'alambics.
Ce sont quelques-uns des appeaux imaginés et bricolés par l'artiste Jean-Luc Bichaud. Les objets, agrémentés de fiches manuscrites soigneusement raturées, méritent qu'on y regarde de très très près. Dans le monde imaginé par Jean-Luc Bichaud, on attrape l'Anthus pratensis (un insipide passereau) avec un hachoir à légumes. "Souffler gutturalement en prononçant à deux reprises pi-pi puis trille", indique le cartel... pas sûr que les dingues de la gâchette y retrouvent leurs petits... Mathieu Braunstein, Télérama du 21 février 2007
Expositions à l'automne 2006
Exposition "Atmosphères"/ ODDC Côtes d'Armor : Hôtel de ville de Gouarec
jardin de propreté 2 : motif de broderie à la française réalisé en tapis-brosse
Château de Monbazillac/ la Nouvelle Galerie (Dordogne)
îles désertes : piscines, sable, cactées sur les viviers du château
Château de Monbazillac/ la Nouvelle Galerie (Dordogne)
l'Allée des peintres : rosiers greffés en pots sur socle, crayons de couleur, raphia et mastic à greffer
Exposition "Atmosphères"/ ODDC Côtes d'Armor : Hôtel de ville de Gouarec
jardin de propreté 2 : motif de broderie à la française réalisé en tapis-brosse
Château de Monbazillac/ la Nouvelle Galerie (Dordogne)
îles désertes : piscines, sable, cactées sur les viviers du château
Château de Monbazillac/ la Nouvelle Galerie (Dordogne)
l'Allée des peintres : rosiers greffés en pots sur socle, crayons de couleur, raphia et mastic à greffer
samedi 3 mars 2007
Exposition au Centre d'art contemporain de Colmar
Exposition à l'Espace André Malraux à Colmar (printemps 2006)
Titre de l'exposition : Paysages de fantaisies
Titre de l'exposition : Paysages de fantaisies
vue générale intérieure : tapis-brosse, piscines, brassards, cactées, eau.
Spectre : fleurs blanches, verre, eau et encres colorées, temps.
...Si le jardin renvoie habituellement à la nostalgie du paradis perdu, c'est sans prétention ni romantisme que Jean-Luc Bichaud se fait le démiurge d'une recréation, amusé mais lucide et qui n'aurait pas comencé par séparer les cieux, les mers et les terres. Il nous propose un jardin que tout sentiment de sublime aurait déserté mais présidé par des principes ornementaux qui assignent un nouvel ordre aux éléments. Les matériaux utilisés relèvent de la banalité voire de la vulgarité, même si ou parce qu'ils sont communément associés au décoratif. En définitive- et avec la douce ironie de l'artiste- ne pourrait-on considérer que l'ornement, si présent, comme l'impureté propre à toute procédure d'hybridation ? Catherine Mayeur, critique d'art
extrait du texte de présentation
...Si le jardin renvoie habituellement à la nostalgie du paradis perdu, c'est sans prétention ni romantisme que Jean-Luc Bichaud se fait le démiurge d'une recréation, amusé mais lucide et qui n'aurait pas comencé par séparer les cieux, les mers et les terres. Il nous propose un jardin que tout sentiment de sublime aurait déserté mais présidé par des principes ornementaux qui assignent un nouvel ordre aux éléments. Les matériaux utilisés relèvent de la banalité voire de la vulgarité, même si ou parce qu'ils sont communément associés au décoratif. En définitive- et avec la douce ironie de l'artiste- ne pourrait-on considérer que l'ornement, si présent, comme l'impureté propre à toute procédure d'hybridation ? Catherine Mayeur, critique d'art
extrait du texte de présentation
(2ème partie à la galerie Alain Le Gaillard, Paris)
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